SÉJOURS DE TOURISME SÉCURISÉS AU MAROC
L’infection pulmonaire dite « CORONAVIRUS – COVID 19 » a chamboulé les équilibres mondiaux et évidemment stoppé les voyages de tourisme, à l’international !
ALSEO témoigne de toute sa compassion aux populations confinées et en particulier, ceux des peuples qui ne bénéficient d’aucun revenu lorsqu’ils ne peuvent aller travailler et sont contraints de respecter les épisodes de confinements.
Durant la pandémie du COVID 19, le Maroc a été remarqué pour son excellente maîtrise de cette crise meurtrière, ce qui a permis d’endiguer la propagation de cette épidémie du Coronavirus. L’action efficace de l’administration Marocaine, face à la succession des 2 vagues épidémiques qui ont frappé le pays, aura indiscutablement limité le nombre des pertes en vies humaines.
Pour ce faire, le gouvernement Marocain a déclaré le premier état d’urgence sanitaire, le 20 Mars 2020, il l’a reconduit ensuite à neuf reprises, jusqu’au 10 Janvier 2020. Ces mesures protectrices se sont accompagnées d’une décision réciproque entre la France et le Maroc, de fermeture des frontières terrestres aériennes et maritimes, autorisant cependant certaines catégories de personnes à entrer et sortir du pays, selon des conditions sanitaires strictes.
Pour ce qui concerne les voyageurs de tourisme dispensés de visa pour entrer au Maroc (ce qui est le cas des Français), dans l’absolu ils sont autorisés à voyager dans le royaume, tout autant qu’ils présentent un test PCR négatif datant de moins de 72 heures, à l’entrée du territoire Marocain. Ils doivent également produire un autre test au retour vers la France, avant de passer les frontières Marocaines et d’utiliser des moyens de transports publics. Par ailleurs, les circulations à l’intérieur du pays ne sont pas entièrement libres et pourraient surtout être sujettes à d’éventuelles réglementations subites, rendues nécessaires de par la situation sanitaire du pays.
VOYAGES AU MAROC APRÈS CONFINEMENTS
Ces longues épreuves de confinement, auxquelles sont soumis plus de 2,6 milliards de terriens en « arrêt d’urgence », réglementés dans leurs modes de vie, plusieurs semaines durant, ont entrainées des conditions d’existences difficilement supportables pour chacun de nous. L’espoir de nouveaux remèdes – de nouveaux vaccins, a mobilisé tous les esprits, espérant qu’une telle situation serait temporaire et qu’une maîtrise de cette pandémie rétablisse les normalités de nos existences.
Pour toutes ces raisons, réglementaires d’abord et l’illisibilité ensuite, en recherche de la plus grande sécurité pour ses participants, ALSEO a suspendu tous ses programmes de voyages à l’étranger pour 2020. Le début de notre saison touristique habituelle débutant chaque année au mois d’Avril, une évaluation de la situation sanitaire sera faite en Février 2021, afin d’établir un point sur l’évolution de la pandémie et fixer les nouveaux plannings de voyages 2021, si la situation sanitaire internationale le permet.
La certitude que les voyages re deviennent sans risque, sera acquise lorsque le nombre des contaminations aura baissé sensiblement et que nous pourrons compter soit sur des remèdes efficaces, soit sur un vaccin contre le COVID 19 qui affiche un taux d’efficacité élevé et qui ne soit pas l’objet de controverses étayées. Dans un premier temps, la logique des gestes barrières devra prévaloir et continuer d’être appliquée et respectée, pour tendre vers une éradication du virus suffisante, afin de reprendre nos modes de vie « d’avant ».
PLUS D’AUTHENTICITÉ ET D’ORIGINALITÉ À VOS VACANCES D’APRÈS COVID !
Concernant les voyages de découvertes à l’étranger, l’année 2020 ne devra-t-elle pas être l’occasion de réflexions sur « la mode » de nos choix de destinations, pour nos vacances ? N’est-il pas temps de s’interroger sur nos besoins de dépaysement durant les vacances ? « L’éloignement de France est-il vraiment proportionnel à l’intérêt touristique » ? Faut-il aller toujours très loin pour trouver de l’originalité et de l’authenticité ? Pour voir de plus beaux sites et profiter de plus de dépaysement ? Faut-il encore s’entasser par groupes de 50, dans d’énormes autobus, pour parcourir des centaines de kilomètres chaque jour et se rendre dans de grandes métropoles surpeuplées, en terminant son séjour au terme de 2000 Km durant la semaine ?
Sans succomber aux appels des trompettes de la communications de certains opérateurs de masse qui proposent des itinéraires invariables et archi parcourus, n’est-il pas d’autres voix plus profitables, permettant de bénéficier d’offres plus pertinentes et plus représentatives des pays visités, des offres sachant mettre en relief la culture, l’histoire, l’architecture, les découvertes de points d’intérêts naturels, la gastronomie et la vie sociale des populations visitées et ce, pour des tarifications souvent minorées, alors qu’elles incluent des prestations de niveaux supérieurs… ?
Il est arrivé que certains participants à nos séjours aient été difficiles à convaincre de venir visiter le Maroc, au prétexte qu’ils « pensaient connaître ce pays », puisque, « disaient-ils », ils y étaient déjà venus une ou deux fois, seuls ou avec des opérateurs de masse. Au terme de leurs séjours, ceux-là mêmes confient très majoritairement que l’originalité, l’authenticité, la diversité des sites et la chaleur des petits groupes qu’ils ont découvert dans nos séjours, ne ressemblaient en rien à leur(s) précédent(s) séjour(s), tant ils avaient apprécié les spécificités des voyages associatifs d’ALSEO.